C’est en me soumettant à l’exercice parfois difficile de l’écriture d’une bonne introduction que je souhaitais efficace que je me suis retrouvée confrontée au fameux syndrome de la page blanche.
Comment introduire efficacement ce qui m’anime depuis des années afin de le partager de façon claire et efficace dans cet article !
Alors, j’ai pensé à ces personnages, ces visages qui m’ont marqués, ces attitudes, ces réflexions, ces phrases lancées au détour d’une
conversation anodine.
A un visage s’ajoute une phrase étrange qui soulignera la caractéristique principale du personnage.
Comment ne pas être inspirée par un invité offrant fièrement à son hôte un chou romanesco en l’informant de l’élégance de sa forme fractale naturelle. Le voilà parti à expliquer dans les détails le principe ce cette particularité géométrique, cette dernière présentant une structure similaire à toutes les échelles, pour finir par expliquer que cette découverte est à attribuer à Benoît Mandelbrot.
De ce cadeau inattendu s’en est suivi une conversation sur son
esthétisme (toujours à tendance scientifique). C’est suffisant pour que l’inspiration soit là !
Et, me voici à dessiner un chou romanesco à la va-vite sur un coin de
table, lors d’un dîner…
Que pourrait-il arriver à ce légume si esthétiquement irréprochable ?
Des enfants !
Des petites filles à qui on aurait présenté, pour la première fois, ce chou
en leur expliquant sa forme géométrique particulière et qui s’étonnerait
de cette particularité et certainement, de la peur de devoir le manger…
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